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Et si on faisait la rentrée ensemble au SPACE 2025 autour des nouvelles gammes Lera ?

La biosécurité est un facteur essentiel de la rentabilité des élevages. Et si on en parlait à la rentrée avec, en vedette, les nouvelles gammes LERA au SPACE, salon international de l’élevage des16, 17 et 18 septembre 2025, à Rennes.
• Stand STOCKMEIER France, hall 5, D88

Prévenir les maladies, réduire les taux de mortalité et améliorer les performances techniques, ce n’est pas anodin. C’est en effet très exactement ce qui permet de sauver votre marge en ces temps compliquées pour les exploitations !

DEGAGER UN REVENU SUFFISANT

Car, vous le savez, la rentabilité d’un élevage dépend largement de sa capacité à dégager un revenu suffisant après déduction de toutes les charges. Et ce revenu suffisant peut être largement grevé en cas de bêtes malades, voire abattues, d’apparition de nuisibles, de virus ravageurs ou d’infections du lait etc.

QUELQUES INDICES CLES :

  • Une étude de 2003 a montré que 75 % des élevages avaient alors un statut hygiénique inférieur aux normes recommandées, entraînant des performances de production plus faibles.
    o Le taux de mortalité est un indicateur de performance majeur. Un taux élevé peut réduire significativement les revenus.
    o Les pertes économiques dues à un manque d’hygiène peuvent se traduire par une baisse de la croissance des animaux, une existence plus courte, une consommation d’aliment plus élevée (mauvais indice de consommation) et/ou une augmentation des frais vétérinaires.

CONNAISSEZ VOUS LES MESURES STANDARDS ?

Concrètement, les professionnels de l’élevage sont, malgré tout, en grande majorité surinformés pas les mesures standards à observer sans tarder :

o contrôle d’accès aux exploitations
o Hygiène du personnel et des visiteurs
o Nettoyage et désinfection rigoureux
o Gestion des déchets
o Lutte contre les nuisibles et parasites, vecteurs potentiels de maladies.

MAIS SURTOUT LES PROCESS DE BIOSECURITE LES PLUS FIABLES ?

Mais comment aller plus loin que ces mesures standards ?

  1. Que ce soit pour :
    1. Les élevages bovins et laitiers particulièrement impactés par la désinfection de mamelles ou les mesures à prendre pour préserver le lait des infections et maladies au fil du stockage, conditionnement, transport 
    2. Les élevages porcins pour préserver les cheptels et ce malgré leur concentration des animaux et leur proximité rendant difficile leur sécurisation aux risques de la Peste Porcine Africaine qui menace en Europe.
    3. Les élevages avicoles, très fragiles, qu’ils soient de plein air ou enclos sont particulièrement en prise avec le risque de contaminations par biofilms, contamination des parcours ou des systèmes d’abreuvement.

QUELQUES FACTEURS SUPPLEMENTAIRES

Mais comme si cette dispersion de fronts, de terrains, de tactiques différentes à adopter pour des problèmes différents ne suffisait pas, certains facteurs supplémentaires peuvent rendre la biosécurité plus difficile encore :

  • – L’élevage clos
    – L’élevage de plein air – pour des raisons tenant justement au plein air
    – La concentration de plus en plus élevée dans les exploitations
    – La fragilité physiologie des animaux eux-mêmes telles les volailles
    – La nature des produits comme le lait, liquide très sensible aux variations de température
  • – La physiologie de la mamelle des vaches laitières…

LE CAS VOLAILLE

Comment concilier dès lors l’activité d’élevage avec les nécessités de la biosécurité ? Prenons un exemple parlant : la filière avicole .

La filière avicole, qu’il s’agisse d’élevages industriels ou de plein air, est confrontée à des problèmes d’hygiène spécifiques et importants en raison de la forte concentration d’animaux et de la sensibilité des volailles aux maladies.

COMMENT CONCILIER RENTABILITE ET BIOSECURITE ?

Les marchés de la volaille évoluent vite ces dernières années avec deux phénomènes sensibles : la concentration et ostensiblement, le plein air et la qualité.
Pour les élevages clos :
• Les ateliers de poulets de chair d’une certaine taille comprennent en moyenne 16 700 têtes (chiffre de 2013).
• Les bâtiments de 1 600 m² pouvant abriter environ 35 000 poulets par lot.
Pour les élevages de plein air :
• 20% des volailles produites en France sont bio ou « label rouge », donc élevées en plein air
• En 2024, plus de 75 % des poules pondeuses en France étaient élevées en bio ou plein air.

PRODUCTION DE VOLAILLES : LES MENACES

Dès lors, ces phénomènes des conséquences à la fois sanitaires (pour les animaux et potentiellement pour l’homme), économiques et environnementales. Les risques liés aux agents pathogènes et maladies explosent : Influenza aviaire (grippe aviaire), Salmonellose, Campylobactériose, Coccidiose, Mycoplasmos, Maladie de Newcastle, Maladie de Gumboro (Bursite infectieuse), Parasites externes et interne.

RENTABILITE ET GESTION DES RISQUES

Pour faire face aux risques, les exploitants doivent mettre en place une gestion efficace et exigeante des dossiers d’hygiène et de détergence. En particulier, la gestion des effluents et de l’environnement de l’élevage – litières, déjections, qualité de l’air et de l’eau d’abreuvement avec une attention soutenue au biofilm sans parler de la présence de nuisibles. Cette gestion des risques a des impact directs, évidents et puissants sur la rentabilité des exploitations.

REGLEMENTATIONS & APPROCHE GLOBALE

La filière avicole française est soumise à des réglementations strictes en matière d’hygiène et de biosécurité, notamment pour la prévention de l’influenza aviaire et la lutte contre la salmonellose. Mais les problèmes d’hygiène en filière avicole sont complexes et multifactoriels nécessitant une approche globale axée sur la prévention, une biosécurité rigoureuse et une surveillance sanitaire constante.
LERA, PLUS DE BIOSECURITE, PLUS DE RENTABILITE
Eleveurs, bovins porcins, avicoles, distributeurs, formulateurs, agroindustriels, transporteurs, conditionneurs… Nous avons tous été confrontés à trop de solutions différentes, trop de dispersions dans les solutions d’hygiène et de biosécurité. Chez STOCKMEIER France / cleaning Solutions, nous avons pris conscience de cet éclatement, y compris dans notre offre en hygiène. Elle correspondait à la diversité des terrains, des menaces, des pratiques et situations- marques Indal / Arvo / Mano… Aujourd’hui, nous unifions nos forces et donnons ainsi une puissance nouvelle à la biosécurité… Ceci afin d’assurer une meilleure rentabilité aux exploitants.

ET CLEANING SOLUTIONS CREA LERA, SOLUTION GLOBALE

Pour éviter la dispersion des efforts et des investissements, nous avons rassemblés toutes nos forces et les mettons dans la bataille. Nous souhaitons nous associer avec quiconque souhaite faire front contre les menaces. Eleveurs, distributeurs partenaires, formulateurs partenaires, agroindustriels, transporteurs, conditionneurs… Et c’est ainsi que se sont crées les gammes LERA, un ensemble cohérent et unifié de produits, solutions et services permettant de venir à bout de manière globale de l’insécurité dans les élevages, conditionnements, transports et transformations…
Que ce soit pour l’élevage bovin et laitier, l’élevage avicole ou l’élevage porcin.
• Et si on vous présentait ces gammes au grand rdv de la rentrée, le SPACE à Rennes ? Venez nous voir au stand STOCKMEIER France, hall5, stand D88

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